JE SUIS UNE HYPERSENSIBLE MAIS JE ME SOIGNE ! 💖🦋🙏

LES PERSONNES HYPERSENSIBLES

Les hypersensibles aiment être engagées à un niveau plus profond.

Les personnes très sensibles traitent toutes les choses en profondeur ; de sorte qu’elles pensent généralement aux grandes choses  » sensibles  » … de la vie.

Cela pourrait-être aussi bien personnel que la façon dont une amitié va se dérouler, ou bien aussi « cosmique » que  l’avenir de l’humanité. Quoi qu’il en soit, les P.H.S. préfèreront donc aussi souvent aller rapidement « au-delà » des bavardages de surface.

Venez avec un esprit ouvert et la volonté de traiter de X domaines…✍️ ✅ 

Il est important de vous rappeler que nous avons tous une réserve illimitée d’amour et de créativité. Et on ne perd rien même lorsqu’on les partage. 

« Vous vivez un moment difficile ? Regardez cela ! »

LE PARADOXE DE LA SOCIÉTÉ « MODERNE »

La plupart des gens pensent en terme de jugements, sans chercher à comprendre les vraies motivations des uns et des autres.

Ils se permettent de s’immiscer dans ce qui ne les concernent même pas mais à contrario, ne s’inquiètent pas du tout du sort d’autrui !

Nous vivons dans une société qui est devenue nombriliste,
où le voyeurisme prime sur le bien, et ce que nous appelions par le passé la solidarité.

J’en veux pour preuve ces deux faits d’hiver (récents)… l’un aucours duquel, un homme d’âge mûr, tenu par la main a été trainé à même le sol par des jeunes sans aucunes limites.

Si vous oser manifester votre indignation, VOUS avez une attitude négative, voire intolérable ou même un problème…

Une vieille dame de 70 ans a été retrouvée morte, et son cadavre était depuis plus de deux ans en putréfaction dans son appartement en Italie sans que personne ne s’en inquiète.

Oh, elle n’avait pas de famille a t-on précisé dans les journaux. Mais elle n’avait pas de voisin non plus pour s’en apercevoir ?

On voit de plus en plus de gens intervenir sur les réseaux pour mettre leur fichu petit « grain de sel » aussitôt qu’il s’agit de pouvoir « émettre un jugement opinion »…car, on en a le droit !

Vous est-il souvent arrivé d’aller voir votre voisin pour lui dire ce que vous pensez de son dernier voyage ?

Ou de sa façon d’aborder la vie…d’éduquer ?

Pourquoi donc ne pas « oser prendre » plutôt cette initiative de s’inquiéter vraiment de son prochain ? Avons-nous des visières quand cela nous arrange ?

Dans le monde où nous vivons, des gens se retrouvent parfois seules, sans proches pour les aider : je parle notamment de personnes âgées, de ceux qui ont pris soin des autres.

Il faudrait donc s’interroger sur le « pourquoi » de ces attitudes qui tendent inexorablement vers l’indifférence et la dérive.

Persister à tout juger sans aller vers l’autre, sans même essayer de le comprendre, ne fait qu’amplifier un phénomène qui nous conduit déjà vers notre propre perte.

Plus rien n’aurait-il de sens à part se montrer, condamner et/ou « pointer du doigt » ?

Est-ce vraiment ce monde que nous voudrions léguer à nos enfants et à la gènération à venir ? A méditer… 🤔

L’intelligence collaborative : comment penser ensemble

L’intelligence collective ou la mentalité de collaboration est un sujet qui a toujours intéressé la psychologie, la sociologie et le monde des affaires…

L’intelligence collaborative : comment penser ensemble

Dans un monde de plus en plus compétitif et individualiste, il est d’autant plus important d’avoir une attitude de collaboration. Face aux défis qui nous attendent, il est essentiel que nous apprenions à réfléchir ensemble pour façonner un avenir bien plus prometteur.

L’intelligence collaborative offre un pouvoir de transformation à l’être humain. Ce type de compétence est mis en avant lorsque les gens sont capables de partager des idées, des pensées et des approches. Evidemment, ce partage se fait dans un seul et unique but : le bien commun.

De nombreuses personnes considèrent que ce type d’investissement mental est ce dont les entreprises, les institutions et tout scénario social de notre époque ont le plus besoin.

Travailler et réfléchir ensemble à des objectifs communs est une source d’inspiration, mais, admettons-le, y parvenir n’est pas toujours facile.

Le travail en équipe, par exemple, comprend déjà des difficultés et il est souvent source de désaccords. De même, personne ne nous a appris comment développer une mentalité de collaboration. Comment mobiliser nos ressources internes telles que la créativité, la motivation et l’enthousiasme envers les autres pour parvenir à une harmonie commune où tout le monde est gagnant.

Cependant, que nous le voulions ou non, c’est la clé de l’avenir. Nous n’avons pas seulement besoin d’entreprises et de sociétés plus intelligentes. Effectivement, aujourd’hui, il est essentiel de disposer de groupes de personnes capables de travailler ensemble sans ego et sans frictions. En outre, il faut désactiver cette pensée rigide que nous avons l’habitude d’avoir. En effet, cette dernière est trop souvent un obstacle au progrès et au bien-être.

Le monde actuel et celui en devenir sont de plus en plus complexes. Pour cela, nous devons concentrer nos efforts et nos ressources dans une même direction. Comment pouvons-nous y parvenir ? L’intelligence collaborative pourrait en effet être notre meilleur option.

L'intelligence collaborative symbolisée par un réseau

Les piliers de l’intelligence collaborative

L’intelligence collective ou la mentalité de collaboration est un sujet qui a toujours intéressé la psychologie, la sociologie et le monde des affaires. De plus, le domaine de la biologie étudie ce concept depuis des siècles en l’observant dans le micro-univers des bactéries. Mais aussi, bien sûr, dans d’autres domaines qui peuvent être plus proches et plus visibles pour nous.

Comme par exemple, le comportement collectif des animaux qui est sans doute le plus frappant de tous. Pensez à ces volées d’oiseaux qui volent dans la même direction et toujours parfaitement synchronisées. Ou encore aux bancs de poissons, aux essaims de krill, aux groupes de dauphins et, bien sûr, à ces communautés de fourmis qui mènent une vie parallèle à la nôtre dans nos jardins, sur nos terrasses ou encore dans les parcs de nos villes.

Qu’est-ce qui fait que toutes ces espèces agissent de manière symbiotique ? Est-ce simplement la survie ? Entre autres spécialistes, l’auteure Dr Dawna Marcova est experte en processus d’apprentissage, en leadership et en talent du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Dans son livre intitulé Collaborative Intelligence, elle nous signale des aspects d’une grande pertinence que nous devrions considérer.

Apprendre à penser avec des personnes qui pensent différemment

Un des principes de l’intelligence collective est de savoir comment se comporter et comment apporter notre contribution dans un environnement où les autres pensent différemment. Cependant, y parvenir n’est jamais facile car, selon le Dr Markova, nous sommes habitués à vivre dans les abysses de notre propre individualité.

On pourrait dire sans se tromper qu’on nous a appris à être plus compétitifs que collaborateurs. Cela implique donc de ne pas accepter les opinions des autres. En outre, cela signifie voir l’autre comme un ennemi à vaincre dans une compétition et que je dois battre pour atteindre mon but. Où allons-nous en agissant de manière individualiste et compétitive ? De toute évidence, nulle part.

Par contre, si nous mettons à profit notre talent en créant une mentalité de collaboration, les choses changent. En effet, rappelons que deux personnes pensent mieux qu’une seule. Parfois, lorsque nous pensons différemment, nous associons nos visions particulières à quelque chose de plus grand, de plus prodigieux et de plus inspirant.

La diversité intellectuelle consiste donc à permettre à nos points forts d’émerger sur une scène collective, où toutes les forces individuelles travaillent en harmonie.

Alignez votre intention sur celle des autres

Les talents qui sont partagés dans un but commun nous permettent d’aller plus loin. Quelque chose d’aussi inspirant que l’alignement de notre intention sur celle des autres devrait certainement être notre motivation quotidienne.

Cependant, force est de constater qu’une telle ambition est encore très difficile à réaliser. En effet, il y a encore beaucoup de personnes qui cherchent à être « le plus intelligent de la classe« , celui qui pense le plus, celui qui fait le plus de choses ou encore celui qui aspire à aller plus haut que les autres. Dans ces cas-là, il faut souvent « écraser » les autres pour atteindre son propre objectif et réussir.

L’une des bases de l’intelligence collective est donc de nous inciter à établir des changements. Il est temps d’établir les conditions les plus appropriées pour développer ce type de compétence. Voyons comment procéder.

« Les problèmes importants que nous éprouvons ne peuvent se solutionner
sur le plan de la pensée où nous les avons crées. »

-Albert Einstein-

Le travail en équipe

 

Les clés de l’intelligence collaborative

José Ortega y Gasset a écrit qu’ « Une civilisation résiste seulement si ceux qui apportent leur collaboration à l’effort sont nombreux. Si tous préfèrent profiter du fruit, la civilisation s’effondre. » Ces sages paroles sont plus pertinentes que jamais. En effet, si nous avons besoin de quelque chose pour faire face aux défis que nous devons relever, ce sont bien des esprits brillants qui savent travailler en collaboration.

En d’autres termes, chacun doit apporter son excellence, sa créativité, son expérience et sa vision particulière au groupe. Et, ceci afin de créer une entité beaucoup plus grande orientée vers le même but, celui du progrès, du bien commun. Toutefois, quels sont les mécanismes pour y parvenir ?

  • La volonté, le désir et la motivation de partager les connaissances et les ressources
  • Créer des espaces de collaboration, tant physiques que virtuels
  • Créer une confiance adéquate avec les autres, où il n’y a pas de concurrence, de fierté ou de contrôle
  • Il doit donc s’agir de groupes basés sur l’horizontalité et non sur la verticalité
  • Il est essentiel de comprendre la dynamique d’un groupe (savoir communiquer, résoudre des problèmes, etc)
  • Etre toujours ouvert aux nouvelles idées
  • Disposer des outils appropriés (espaces physiques, formation, mais aussi des espaces virtuels où la communication est constante)

Pour conclure, un autre élément important pour permettre la coopération en matière d’intelligence collaborative est l’attitude. Une attitude engagée envers le changement, où l’individualisme est moins important que la vision de groupe. C’est une attitude d’appartenance à une communauté qui sait comment avancer pour un progrès meilleur.

https://nospensees.fr/lintelligence-collaborative-comment-penser-ensemble/

Comment vous faire travailler quand vous ne le voulez pas ?

Il y a ce projet que vous avez laissé en suspens – celui avec l’échéance qui se rapproche de plus en plus. Et il y a le client pour lequel vous devriez vraiment passer un un appel téléphonique – celui qui ne fait que se plaindre et dévorer votre temps précieux. Attendez, n’allez-vous pas essayer d’aller au gymnase plus souvent cette année?

Pouvez-vous imaginer combien vous sentiriez moins de culpabilité, de stress et de frustration si vous pouviez vous faire faire ce que vous ne voulez pas faire alors que vous êtes censé le faire? Sans oublier à quel point vous seriez plus heureux et plus efficace?

La bonne nouvelle (et la très bonne nouvelle) est qu’il est possible de ne pas remettre les choses à plus tard si vous utilisez la bonne stratégie. Déterminer quelle stratégie utiliser dépend de la raison pour laquelle vous tergiversez :

Raison n ° 1 Vous mettez quelque chose hors tension parce que vous avez peur de tout gâcher.

Solution : Adoptez un «objectif de prévention».

Il y a deux façons de regarder une tâche. Vous pouvez faire quelque chose parce que vous le voyez comme un moyen de vous retrouver mieux que ce que vous êtes maintenant – comme un exploit ou un accomplissement. Au fur et à mesure, si je termine ce projet avec succès, j’impressionnerai mon patron ou, si je travaille régulièrement, je vais avoir un look incroyable . Les psychologues appellent cela un objectif de promotion – et la recherche montre que lorsque vous en avez un, vous êtes motivé par la pensée de faire des gains et vous travaillez au mieux lorsque vous vous sentez enthousiaste et optimiste. Ça sonne bien, n’est-ce pas? Eh bien, si vous craignez de perdre la tâche en question, ce n’est pas votre objectif. L’inquiétude et les doutes sapent la motivation de votre promotion, vous laissant moins enclins à prendre des mesures.

Ce dont vous avez besoin est une façon de voir ce que vous devez faire qui ne soit pas miné par le doute – idéalement, qui y prospère. Lorsque vous vous concentrez sur la prévention , au lieu de penser à la façon dont vous pourriez améliorer votre sort, vous considérez la tâche comme un moyen de conserver ce que vous avez déjà : éviter la perte. Pour un projet axé sur la prévention, mener à bien un projet est un moyen d’empêcher votre chef d’être en colère ou de vous faire moins penser à vous. Travailler régulièrement est un moyen de ne pas se laisser aller. Des décennies de recherche, que je décris dans mon livre Focus, montre que l’anxiété quant à ce qui pourrait mal tourner renforce la motivation de prévention. Lorsque vous vous concentrez sur la prévention des pertes, il devient évident que le seul moyen de sortir du danger est de prendre des mesures immédiates. Plus vous êtes inquiet, plus vite vous êtes hors de la porte.

Je sais que cela ne ressemble pas à un baril de rires, en particulier si vous êtes généralement plus du genre à un esprit de promotion, mais il n’ya probablement pas de meilleur moyen de surmonter votre anxiété face à la pourriture que de réfléchir sérieusement à tous les problèmes. conséquences de ne rien faire du tout. Allez, effrayer le pantalon vous-même. C’est affreux, mais ça marche.

Raison n ° 2 Vous remettez quelque chose parce que vous n’avez pas «envie» de le faire.

Solution: Faites comme Spock et ignorez vos sentiments. Ils se mettent sur votre chemin.

Dans son excellent livre, The Antidote: le bonheur des personnes qui ne supportent pas la pensée positive , Oliver Burkeman souligne que, la plupart du temps, nous disons des choses comme «Je ne peux tout simplement pas me lever tôt le matin» ou «Je ne peux tout simplement pas me mettre à faire de l’exercice», ce que nous voulons vraiment dire, c’est que nous ne pouvons pas nous donner envie de faire ces choses. Après tout, personne ne vous attache au lit chaque matin. Les videurs intimidants ne bloquent pas l’entrée de votre gymnase. Physiquement, rien ne vous en empêche – vous n’en avez tout simplement pas envie. Mais comme Burkeman demande, « Qui a dit que vous deviez attendre jusqu’à ce que vous » sentiez « faire quelque chose pour pouvoir commencer à le faire? »

Pensez-y une minute, car c’est vraiment important. Quelque part au cours de notre parcours, nous avons tous adhéré à l’idée – sans nous en rendre compte consciemment – selon laquelle, pour être motivés et efficaces, nous devons avoir le sentiment de vouloir agir. Nous devons avoir hâte de le faire. Je ne sais vraiment pas pourquoi nous croyons cela, parce que c’est 100% un non-sens. Oui, à un certain niveau, vous devez vous engager dans ce que vous faites – vous voulez que le projet soit terminé, ou en meilleure santé, ou bien pour que votre journée commence plus tôt. Mais vous n’avez pas besoin de vouloir le faire.

En fait, comme le fait remarquer Burkeman, bon nombre des artistes, écrivains et innovateurs les plus prolifiques le sont devenus en partie à cause de leur dépendance à des routines de travail qui les obligeaient à passer un certain nombre d’heures par jour, même sans inspiration ( ou, dans de nombreux cas, la gueule de bois) ils pourraient avoir ressenti. Burkeman nous rappelle l’observation de l’artiste de renom Chuck Close selon laquelle «Inspiration est destiné aux amateurs. Le reste d’entre nous vient d’arriver et se met au travail. « 

Donc, si vous restez assis là à retarder quelque chose parce que vous ne le ressentez pas, souvenez-vous que vous n’avez pas réellement besoin de le ressentir. Il n’y a rien qui vous arrête.

Raison n ° 3 Vous mettez quelque chose hors tension parce que c’est difficile, ennuyeux ou autrement déplaisant.

Solution: Utilisez la planification si-alors.

Trop souvent, nous essayons de résoudre ce problème particulier avec une volonté pure: la prochaine fois, je me ferai commencer à y travailler plus tôt. Bien sûr, si nous avions la volonté de le faire, nous ne le remettrions jamais à plus tard. Des études montrent que les gens surestiment régulièrement leur capacité de maîtrise de soi et s’en remettent trop souvent à elle pour ne pas avoir à manger de l’eau chaude.

Rendez-vous service et acceptez le fait que votre volonté est limitée et qu’il ne vous conviendra peut-être pas toujours de relever le défi de vous faire faire des choses que vous trouvez difficiles, fastidieuses ou terribles. Au lieu de cela, utilisez si-alors planification pour faire le travail.

Faire un plan « si-alors » ne se limite pas à décider des étapes spécifiques à suivre pour mener à bien un projet. Vous devez également décider  et quand les entreprendre.

S’il est 14 heures, alors je vais arrêter ce que je fais et commencer à travailler sur le rapport Bob a demandé.

Si mon patron ne mentionne pas ma demande pour une augmentation de notre réunion, alors je vais le mettre à nouveau avant la fin de la réunion.

En décidant à l’avance exactement ce que vous allez faire, et quand et où vous le ferez, vous ne pourrez pas délibérer le moment venu. Non, est- ce que je dois vraiment faire cela maintenant ? Ou cela peut-il attendre plus tard? ou peut – être que je devrais faire autre chose à la place . C’est lorsque nous délibérons que la volonté devient nécessaire pour faire le choix difficile. Mais si les projets envisagés réduisent considérablement les exigences imposées à votre volonté, en vous assurant que vous avez pris la bonne décision bien avant le moment critique. En fait, si, alors la planification a été démontré que dans plus de 200 études pour augmenter le taux de réalisation des objectifs et la productivité en moyenne 200% -300%.

Je me rends compte que les trois stratégies que je vous propose – réfléchir aux conséquences d’un échec, ignorer vos sentiments et engager une planification détaillée – ne paraissent pas aussi amusantes que des conseils tels que « Suivez votre passion! » Ou « Restez positif! » Mais ils ont l’avantage d’être réellement efficaces – ce qui, en l’occurrence, est exactement ce que vous serez si vous les utilisez.

Quelle est la meilleure façon de réagir… lorsque quelqu’un qui se laisse dominer par la colère crie après vous ?

 
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Votre cerveau vous joue des tours…

Cerveau, Inflammation
Albert Moukheiber, Nous invite à découvrir… 

cet organe humain, qui est unique en son genre.

Pourquoi croyons-nous avoir raison lorsque nous avons tort ? Pourquoi sommes nous terrorisé(es) par une toute petite araignée inoffensive ? Pourquoi avons-nous si peur de parler en public ?

Selon Le Docteur Albert Moukheiber, notre perception est partiale, nous avons de plus une attention qui est limitée et pour couronnée le tout, une mémoire plutôt sélective. Pourtant nous avons tous une « vision du monde » cohérente. Nous pouvons en remercier notre cerveau qui met en place des « tours », des mécanismes qui nous permettent d’appréhender le monde multiple, complexe puis de l’avoir en partage…

Mais trop souvent, ces même mécanismes nous font perdre notre lucidité, en nous enfermant dans la « tour » de nos « à priori » et nous détournent des autres.

Le cerveau, foyer de la connaissance, fonctionne par approximation. Face à ce réel multiple et complexe, nous sommes ainsi sujets à l’illusion et  à l’erreur.

Le cerveau créée des modèles mentaux pour absolument tout, nos relations amicales et amoureuses, notre conception du travail, nos opinions politiques…Souvent à notre insu, le cerveau nous raconte des histoires pour nous aider à mieux naviguer dans le monde…

Riches d’exemples tirés de la vie quotidienne et de récits d’expériences de psychologie sociale, cet essai rend accessibles les dernières découvertes des neurosciences et propose des outils pour faire de notre cerveau notre allié en toute circonstances.

« Votre cerveau vous joue des tours »,
Albert Moukheiber

Docteur en neurosciences cognitives
et psychologue clinicien.

Source : Arte TV

ET SI NOUS « CULTIVIONS » UN ETAT D’ESPRIT POSITIF ?

LE BONHEUR EST A L’INTÉRIEUR DE SOI : C’EST UN ETAT D’ESPRIT QUE « JE CULTIVE »… MAIS AUSSI UNE BELLE EXPÉRIENCE DE VIE… ET MA PERCEPTION DES CHOSES : C’EST ETRE EN PAIX TOUT SIMPLEMENT.
★★★🌞 🔆 🌟★★★

gif-1913308155.gifCet article a été rédigé en fin d’année dernière, mais j’ai décidé de lui « redorer le blason » en lui donnant un petit coup de fraîcheur…Yé crois bien qu’il commençait déjà à se languir de vous retrouver ! 😎

Avez-vous le moral dans les baskets
ces temps-ci ?

Et si nous y remédions ? Je propose de vous donner des éléments qui pourront vous aider dans un premier temps à sortir de cette morosité ambiante, mais encore mieux, vous pourrez (en y mettant de la bonne volonté) reprendre le contrôle presque aussitôt !

Par quoi devrez-vous commencer selon vous ? Eh bien vous pourriez déjà remédier à cela et retrouver la pêche et la paix rien qu’en changeant votre façon de penser.


La sagesse, c’est savoir que je ne suis rien.
L’amour, c’est savoir que je suis tout,
et entre les deux, je vis ma vie…

N'ATTENDEZ PAS D'ETRE HEUREUX.jpg


Tout d’abord, il serait vraiment utile de savoir comment vous avez l’habitude de commencer la plupart de vos journées…quel est votre rituel du matin ?

Etes-vous de ceux qui peinent souvent à sortir du lit, avec cette très désagréable impression d’être fatigué(es) et de ne pas avoir récupéré de votre nuit ?

Peut-être que vous ne présenter pas vraiment tous ces symptômes, mais vous voulez avoir le moral, ou pas ?! Bon, c’est parti alea jacta est* ! Gageons que ces cinq étapes puissent vous aider afin de pouvoir vous en sortir assez rapidement :

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1- Resaisissez-vous !

Allez hop hop hop, il est grand temps de reprendre le dessus et de se bouger un peu le popotin et je dirais même plus : soyons réaliste, mais exigeons l’impossible ! 😊

Et si vous décidiez de réagir, plutôt que de passer votre temps à ruminer ?

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Tient en vous mettant par exemples au Yoga en effectuant quelques simples petits exercices d’assouplissement, ou encore de la méditation au moment du réveil.

Vous pourriez aussi faire du footing, de la marche ou du vélo le matin, en tout cas pour ceux qui seraient de « fervents » adeptes de ce type de sport !

Un peu d’enthousiasme, cela ne pourra
que vous être bénéfique voyons…😉

Je sais, bon je vous vois venir, vous allez encore me dire que vous avez un timing déjà serré, pas suffisamment de temps patati et patala…pas d’excuses, eh bien trouvez le ce temps, eh eh il suffit simplement de se levez un peu plus tôt !⏳🏃‍

Vous avez tous très certainement déjà entendu dire que «vouloir, eh bien c’est pouvoir» n’est-ce pas ? Alors sache ce que tu veux et fais ce que dois…


TOUT CE DONT J’AI BESOIN
MAINTENANT EST ICI…


2 – Le petit déjeuner

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Nous avons de nos jours, pour la plupart d’entre nous, un style de vie plutôt oppressant qui fait qu’avec toutes nos innombrables activités urbaines, nous finissons par tôt ou tard développer le sentiment négatif de vivre à 💯 à l’heure et de ne plus pouvoir parfois contrôler les choses. Heureusement, nous avons toujours cette possibilité de dire stop !

GRATITUDE
Pourtant, il est capital d’arriver à lever le pied et de « maîtriser » certains éléments de nos vies, afin de parvenir à garder le cap…sous peine de succomber un de ces quatre matins au stress  généré par ce mode de vie trop rapide, ou même pis, d’être confronté au risque de sombrer dans la dépression qui pourrait s’installer.

En conséquence, accordez-vous avant tout ce laps de temps et profitez-en pour prendre un vrai petit déjeuner : bol de chocolat, lait, pain complet, céréales, œufs, jus d’orange et ou une banane (qui contient des fibres, du glucose, c’est également un bon booster). Enfin, c’est à varier bien sûr, cela sans aucun complexe, et selon les goûts et envie de chacun(e).

Le corps est une magnifique machine qui a besoin de sa dose de vitamines pour bien démarrer tout comme notre état d’esprit qui peut d’ailleurs à lui seul conditionner toute notre journée, mais ne vous inquiétez surtout pas car nous reviendrons sur cet aspect des choses…

Il est donc important, et je dirais même primordial de se donner le temps de savourer ce petit instant privilégié qui devrait même demeurer un vrai rituel…

Oui puisque c’est également (vous en conviendrez aisément), ce moment qui vous permettra de bien préparer votre corps dans la perspective d’une longue journée qui vous attendrait.

Pensez en revanche à boire beaucoup d’eau (un verre le matin en vous levant), mais également à d’autres moments de la journée, car cela est du reste tout aussi nécessaire pour équilibrer votre métabolisme. Ce qui vous permettra de garder une hydratation suffisante surtout en temps de chaleur…


3 – Cultiver son moi intérieur

Continuer à lire … « ET SI NOUS « CULTIVIONS » UN ETAT D’ESPRIT POSITIF ? »

Comment trouver la motivation ? Mais essayons d’abord de résoudre cette petite équation ci-dessous…

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Pour comprendre la motivation,
il faut maîtriser 5 concepts.

  • L’effort : Ce sont les sacrifices que vous devrez faire pour atteindre votre objectif….
  • La performance : Ce sont les objectifs (que je me suis fixés), à remplir pour réussir et obtenir la recompense.
  • les valences (V). Ce sont les gains et les pertes. Soit Σ la somme des valences.
  • Le lien entre effort et performance (E). Est-ce que mes efforts me permettront d’atteindre mes objectifs ?
  • Le lien entre effort et réussite, soit (I). Est-ce que le plan est bon ? Est-ce que mes objectifs me permettront d’obtenir la recompense ?

E * I * (Σ V)

Prenons un exemple pour expliquer ces concepts. Disons un cours de math. Votre père vous a promis une boite de chocolat si vous réussissiez l’interro sur les polygones, mais vous allez devoir reviser 2H pour cela.

  • L’effort à fournir est donc 2 heures de travail (Sacrifices)
  • La performance est une bonne connaissance des polygones (Objectifs fixés)
  • Le lien entre les deux heures de révision et la bonne connaissance des polygones correspond à E. Si vous êtes certains de connaitre votre leçon après 2 heures, E = 1. Si vous êtes certains de le faire pour rien, E = 0
  • Le lien entre la bonne connaissance des polygones et la réussite de l’interro correspond à I. Si vous êtes certains que connaître ce point de matière vous permettra de réussir l’interro, I = 1, sinon I = 0.
  • Les gains (fierté personnelles, fierté paternelle, bonne moyenne, chocolat) et les pertes (deux heures de révisions) correspond aux valences. Ensemble, ils donnent la somme des valences (Σ V). Plus difficile a quantifié, disons 3.

Logiquement, votre motivation devrait donc être de (1 * 1 * 3) donc de 3.

Les choses se compliquent quand, par exemple, on manque de confiance en soi. Même révision, mais vous n’êtes pas sur de connaitre votre leçon après 2 heures, E sera = à 0.5.

Donc (0.5 * 1 * 3) = 1.5

Les choses se compliquent encore si les liens entre les performances et les objectifs ne sont pas clair. Par exemple, l’interro demain est théorique, et a une chance sur deux de ne pas arriver. Vous n’êtes pas sur que reviser vous rapportera une quelconque récompense. I tombe à 0.5

Donc (0.5 * 0.5 * 3) = 0.75

Avec ce schéma, on voit clairement à quel point la confiance en soi, et la clarté du lien entre action et récompense est important.

Si vous n’êtes pas motivé, il ne peut y avoir que 3 problèmes :

  1. La somme des valences est négative, ou faible. Vous ne gagnez presque rien, ou vous perdez trop. Personne ne courrait 50 km pour un biscuit, et vous n’êtes pas différent des autres. Dans ce cas, réfléchissez à pourquoi vous faites cela. Est-ce que cela vaut vraiment le coup ? Faites le point et demandez vous ce que vous y gagnez, puis ce que vous y perdez…
  2. La somme des valences est bonne (grosse récompense) mais I est mauvais. Vous n’êtes pas sur de votre plan pour obtenir cette récompense. Difficile de se motiver pour faire un truc probablement inutile. Vous devez repenser votre plan, voir si il peut gagner en précision, anticiper les difficultés, collecter des infos… bref, il vous faut un chemin plus sûr.
  3. La recompense est bonne, le plan aussi, mais vous n’êtes pas sur d’y arriver.
    (E) vous fait défaut. Si vous n’avez pas confiance en vous en général, il va être très compliqué de vous en sortir. Pour ne pas abandonner votre projet en cours de route (ce serait dommage) vous allez devoir repenser votre plan. Découpez les objectifs en plusieurs étapes plus simples. Pour être sûr(e) d’avancer, il vaut mieux faire de plus petites activités en générale, que vous serez capable de réussir (objectif réaliste), en augmentant au fur et à mesure la difficulté, d’où une meilleure performance…😊


LA SOMME DES EFFORTS COMBINES A LA PERFORMANCE (E)
DEPLOYEE POUR ATTEINDRE LES OBJECTIFS FIXES (I)[PLAN]
=> AU RESULTAT VISE QUI EST LA RECOMPENSE.
Σ V (REUSSITE ATTENDUE = 💯 %)

 Alors, toujours pas motivé(e) après cela ?!
L’équation a t-elle été bien résolue ?
Bonne journée à tous
😉
Yola M.

Comment détoxifier sa vie en 4 étapes ?

UN AMI D'ALBERT EINSTEIN LUI PRESENTE SON FILS.jpg

Comment détoxifier sa vie
en 4 étapes faciles :
« Pour cela, il vous suffira D’… »


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Comment sortir de l’emprise d’un pervers narcissique ?

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Comment sortir de l’emprise d’un pervers narcissique ?

LE PERVERS NARCISSIQUE

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Personne dominée

peinture du visage d'une femme
Emprise

Pour des raisons relevant de sa prime enfance (en général « l’abandon » par l’un des deux parents), il n’est plus en mesure de se construire [échec scolaire, désintérêt pour la culture et tout ce qui à trait au spirituel. Il est perpétuellement rongé par la rancune et à un désir inextinguible de vengeance à l’endroit du père ou de la mère qui l’a ignoré ! Avec l’age, il se met alors à chercher une personne [la proie] qui a la particularité d’être très empathique. Il la séduit par un comportement hyper ouvert et aimant. Aussitôt que la victime tombe sous son charme il se vengera d’elle, (ou surtout…de sa misère affective).

Il se venge en réalité du père ou de la mère dont il projette l’image sur la victime. Le vide intérieur : il est vide du fait que justement il est tout ce temps demeuré obnubilé et obsédé par un désir de vengeance immense. On ne peut pas se remplir et se construire quand on est perpétuellement en proie aux flammes de la rancune et de la vengeance. Son désir de vengeance est également exacerbé par un violent sentiment de jalousie justement à cause de son vide spirituel. Sa victime est généralement une personne bien construite, avec un esprit riche, est ouverte et souvent de nature très généreuse mais également dotée d’une grande empathie…

Cela ne fait qu’accentuer sa haine à l’encontre de la victime. C’est d’ailleurs en raison de ce mécanisme que le PN « N’aime pas ». Il hait l’amour car ce sentiment lui rappelle sans cesse la trahison dont il a été l’objet par le parent qui l’a abandonné. Pourquoi le PN refuse t-il de guérir ? Guérir signifie pour lui mettre fin à son désir de punir le parent qui l’a ignoré ! Et ça, il le refuse. Le parent incriminé (son image projetée sur la victime) DOIT payer ! Et comme la personne devant lui n’est ni son père ni sa mère, son désir reste éternellement inassouvi. Meme si la victime se suicide ou tombe en décrépitude totale, il ne se considérera pas comme s’étant vengé et hop, passons à autre chose ! Non, il ira chercher une autre proie qui remplacera la victime vaincue. Pour qu’un PN guérisse, il faudra que, dans le réel, le parent fautif vienne en personne s’excuser, se repentir et pleurer à ses pieds pour que peut-être, son désir soit définitivement assouvi : La vengeance…il n’y aura plus matière à se venger.

Le P.N. est ainsi fait et souffre lui-même de son propre passé dont il est la première victime. En tant que victime, il n’est pas donc pas conseiller de songer à se venger. On se venge de quelqu’un qui vous a fait du mal en pleine conscience et capacité de lui-même, mais pas d’une personne qui est « malade » dans le fond sans en être consciente.

Si l’on sent qu’on n’arrive pas à le laisser à son triste sort, une seule solution : l’accepter tel quel mais alors ne plus rien attendre de lui. Et donc ne rien lui demander, ne plus le questionner ou l’interroger pour qu’il rende compte de ses méfaits. Ainsi, primo, vous savez à quoi vous en tenir et, secundo, cette attitude de NON RÉACTION TOTALE à ses comportements négatifs va le déstabiliser comme il ne l’aura jamais été !

Dans ce cas, soit il mettra fin à son attitude car, devenue inefficace et improductive puis s’en ira de lui-même, (bon heureusement pour moi j’ai eu ce « loisir » de l’essayer), cela le perturbera tellement que cela provoquera en lui le fameux déclic qui sera salvateur…

La première manifestation du pouvoir, c’est le désintérêt
pour tout ce qui n’en révèle pas !


Je pense aussi que ce qui pourrait l’aider, et après consultations chez un/une psy par exemple, c’est de se rendre compte d’où son peut venir son soucis et de régler les choses avec ses parents. cela pourrait constituer une démarche constructive, un grand pas et la voie vers une possible guérison…cela reste à voir ? 👀

Sauf que le problème est bien d’arriver à le persuader qu’il va mal pour justement aller consulter !!! Il secrète régulièrement une charge extraordinaire de rancune et de désir de vengeance qui l’aveuglent constamment.

On dit que le PN éprouve du plaisir à faire du mal et qu’il considère son vis à vis au maximum comme un objet… oui dans le sens où il voit inconsciemment le parent fautif dans le substrat de son/sa partenaire. Nous n’existons pas à proprement parler dans l’esprit du PN en tant que personne singulière mais en notre qualité de succédané(*), de remplaçant de l’autre [le parent incriminé]. De ce fait, il tire forcément un malin plaisir du mal qu’il nous fait puisque dans son subconscient IL EST ENTRAIN DE SE VENGER…

Comment alors persuader une personne qui se venge d’aller consulter, d’autant plus que tout ce mécanisme est inconscient chez lui ?! C’est là ou se situe le noeud gordien de la problématique du PN.

Le PN que j’ai eu le déplaisir de croiser dans ma vie me disait souvent dans des moments de semi-lucidité qu’il ne croit pas en l’amour, qu’aimer est une faiblesse ! Il haïssait littéralement l’amour. En réalité, il se haïssait lui-meme d’avoir aimé par le passé, en « souvenir » de l’amère trahison qu’il avait eut lui-même en retour…

*** *** *** *** ***

Je ne serais pas aussi affirmative…lorsque le PN nous traite de malade c’est à mon sens une manière réactive dont il use pour nous donner le change en general, c’est la victime qui ne comprenant pas le mécanisme sous-jacent des comportements du PN le traite de « fou ». Donc il ne fait que réagir a ce qu’il perçoit comme une attaque de notre part à laquelle il réagit à défaut d’autre chose. Ce qui rend son traitement jusqu’à présent impossible c’est le fait qu’il est dans une logique de vengeance. Non seulement il se venge mais il en est en plus inconscient. Si, par extraordinaire sa vengeance se réalisait immédiatement sur le père ou la mère qui l’aurait abandonné, on dirait moins de lui [alors enfant], que c’est un « fou en puissance ».

On dirait tout simplement qu’il se venge et que c’est normal. Or à l’age ou il aurait été abandonné ou privé de l’amour dudit parent fugueur, le futur PN n’a pas les moyens d’exprimer sa rage et ses ressentiments. Il refoule, refoule et refoule ! Ces refoulements secrètent alors en lui une haine sourde contre un…fantôme ! Je dis fantôme car il cherche à se venger du parent fautif mais il va avoir affaire à chaque fois à une multitude de personnes défilant dans sa vie : camarades de lycée, petite amie, frère, collègue de travail, son supérieur hiérarchique etc…

Pourquoi recherche-t-il PARTICULIEREMENT les individus doués d’une grande empathie ? Ce n’est pas par hasard ! S’il cherche des personnes aimantes c’est pouvoir les séduire afin d’avoir le privilège de les punir sévèrement une fois que celles-ci sont tombées sous son charme. Une personne sans empathie ne l’intéressera pas car il ne pourrait appliquer son « châtiment ». Il recherche inconsciemment une vengeance mais, une vengeance inextinguible vu qu’après chaque victime, le spectre du mauvais parent subsiste et va donc finir par réapparaître…

Pour terminer et revenir à la guérison, il est jusqu’à présent impossible de le soigner car il ne se voit pas malade mais dans une position légitime d’une victime qui est « autorisée » à se venger ! (*) Ersat et produit que l’on peut remplacer par un autre, son substitut.

👩‍🔧  😇

Nous verrons donc dans un prochain article, une nouvelle video sur la manière de
POUVOIR s’en sortir véritablement…

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Dites-moi dans les commentaires si vous avez déjà été exposé(e) à un ou une pervers narcissique et comment avez-vous fait pour arrêter
« l’emprise » qu’il exerçait sur vous ?

A très bientôt. Excellente journée
Bisous à tous ! Yola M.


Burn-out: « il y a un gros problème de management à la française », selon Patrick Légeron — UNSA FINANCO

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source: challenges.fr INTERVIEW – Patrick Légeron, psychiatre fondateur du cabinet Stimulus, est coauteur du rapport de l’Académie nationale de médecine sur le burn-out, publié en 2016. Selon lui, « ce n’est pas le changement qui génère le burn-out, c’est la non prise en compte de l’humain dans sa mise en oeuvre ». Challenges – Vivons-nous une période […]

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