« L’AMOUR C’EST MAINTENANT »

Celui qui apprend percevra aussi qu’il n’y a pas de « sortes » d’amour.
L’amour est d’une seule sorte. L’amour est l’amour.
Chacun connaît, exprime et manifeste ce qu’il sait de l’amour.
Il y a des degrés dans l’amour mais il n’y a qu’une sorte d’amour.
L’amour, c’est la confiance.

L’expérience semble nous convaincre que seuls les fous ont confiance, que seuls les fous croient en tout et acceptent tout.

Si c’est vrai, l’amour est alors la plus grande folie, car s’il n’est pas basé sur la confiance, la croyance et l’acceptation, ce n’est pas de l’amour. « Aimer veut dire s’engager sans garantie, se donner complètement dans l’espoir que notre amour produira de l’amour dans la personne aimée. L’amour est un acte de foi et celui qui est de peu de foi est aussi de peu d’amour. »

L’amour parfait serait celui qui donne tout et n’attend rien.
Car si quelqu’un n’attend rien et ne demande rien, il ne peut jamais être déçu ou désillusionné.
Ce n’est que lorsque l’amour demande qu’il peut conduire à la souffrance.
L’amour n’est amour que s’il est donné sans attente.

On aime parce qu’on le veut, parce ce qu’on en retire de la joie,
parce qu’on sait que la découverte et la croissance de soi en dépendent.
Celui qui aime sait que la seule assurance dont il dispose réside en lui.

S’il a confiance et s’il croit en lui-même, il aura confiance et il croira en les autres.
Il est avide d’accepter tout ce qu’ils sont capables de donner mais il ne peut-être certain que de lui et il ne répond de personne que de lui.

L’amour ne peut être que donné, exprimer librement.
Il ne peut être ni capturé ni retenu car on ne peut ni l’attacher ni le retenir.

Il est en chacun et en chaque chose à des degrés divers et il attend de se réaliser.
Il n’est pas séparé du moi.
L’amour et le moi ne font qu’un.

Il n’y a pas de sorte d’amour, l’amour est l’amour, il n’y a que des degrés en amour.
L’amour est confiance, acceptation et croyance, sans garantie.

L’amour est spontané et aspire à s’exprimer dans la joie, la beauté, la vérité et même les larmes.

L’amour vit l’instant présent ; il n’est ni perdu dans le passé ni abîmé de désir pour le lendemain.

L’amour, c’est MAINTENANT!L’amour n’a de sens que s’il est vécu dans le présent. »

Leo Buscaglia

Le vieil homme et le cheval…

On n’avait jamais vu de tel cheval,
tant par sa splendeur, sa majesté que par sa force.
Les gens offraient des fortunes pour cette monture,
mais le vieil homme refusa toujours de le vendre :

« Ce cheval n’est pas un cheval, disait-il. Il compte pour moi comme une personne. Comment pourrait-on vendre une personne ? Il compte pour moi comme un ami, pas comme un animal que je possède. Comment pourrait-on vendre un ami ? »

L’homme était pauvre et la tentation était grande, mais jamais il ne vendit le cheval.

Un matin, il constata que le cheval
n’était plus dans son écurie.
Tout le village vint le voir :

« Vieux fou, se moquèrent-ils, Nous t’avions
dit qu’un jour quelqu’un volerait ton cheval.
Nous t’avions prévenu que tu serais volé.
Toi, si pauvre, comment as-tu pu garder
sous ta protection un animal si précieux ?

Tu aurais mieux fait de le vendre.
Tu aurais pu en tirer le prix que tu voulais.
Aucune somme n’aurait été trop importante.
Maintenant le cheval est parti,
et c’est une mauvaise chose qui t’arrive. »

Le vieil homme répondit :

« Ne parlez pas trop vite. Dites seulement que le cheval n’est pas dans l’écurie.
C’est tout ce qu’on sait, le reste n’est que jugements.
Est-ce une mauvaise chose pour moi, ou non ?
Comment pouvez-vous savoir ? Comment pouvez-vous juger ? »

Les gens protestèrent :

« Ne nous prends pas pour des imbéciles !
Nous ne sommes peut être pas philosophes,
mais il n’y a pas matière à philosopher ici.
Le simple fait que ton cheval ne soit plus
là constitue une mauvaise chose. »

Le vieil homme parla de nouveau :

« Tout ce que je sais, c’est que l’écurie est
vide et que mon cheval est parti.
Je ne sais rien de plus.
Qu’il s’agisse d’une mauvaise chose ou
d’une bonne chose,
je ne peux pas le dire. Nous ne voyons
qu’un fragment des choses.
Qui peut dire ce qui va arriver ensuite ? »

Les gens du village rirent et pensèrent
que le vieil homme était fou.
Ils avaient toujours pensé qu’il était imbécile, car,
s’il ne l’était pas, il aurait vendu le cheval et vivrait des revenus de cette vente.

Au lieu de cela, sa vie était celle d’un pauvre bûcheron, le vieil homme était encore obligé de couper du bois de chauffe, de le traîner à travers la forêt et le vendre. Il vivait au jour le jour, dans
la misère et la pauvreté. Il avait désormais prouvé
qu’il était vraiment fou.

Quinze jours plus tard, le cheval revint.
Il n’avait pas été volé,
il s’était seulement enfui dans la forêt.
Non seulement il était revenu, mais il ramenait
une douzaine de chevaux sauvages avec lui.

Une fois encore, les gens s’assemblèrent
autour du bûcheron et lui dirent :
« Vieil homme, tu avais raison et nous avions tort.
Ce que nous pensions être une mauvaise chose
s’est révélé être une bonne chose.
S’il te plaît, Pardonne-nous. »

L’homme répondit :
« Encore une fois, vous allez trop loin.
Dites seulement que le cheval est revenu
et qu’une douzaine de chevaux l’accompagnaient,
mais ne jugez pas. Comment pouvez-vous savoir
s’il s’agit
d’une bonne chose ou non ?

Vous ne voyez qu’un fragment des choses.
A moins que vous sachiez toute l’histoire,
comment pouvez-vous juger ?
Vous ne lisez qu’une page d’un livre.
Comment
pouvez-vous juger le livre en entier ?
Vous ne lisez qu’un mot d’une phrase.

Comment
pouvez-vous comprendre
la phrase entière ? La vie est si vaste,
et pourtant vous jugez tout de la vie sur
une page ou un mot.
Tout ce que vous avez vu n’est
qu’un fragment des choses !

Ne dites donc pas qu’il s’agit d’une bonne chose.
Personne ne le sait. Je me contente
de ce que je sais
et je ne me tracasse
pas de ce que je ne sais pas. »

« Peut-être le vieil homme a-t’il raison,
se dirent-ils entre eux. »
Ils n’en dirent pas beaucoup plus.
Cependant, au fond d’eux-mêmes,
ils étaient persuadés qu’il avait tort.
Ils savaient qu’il s’agissait d’une bonne chose.

Une douzaine de chevaux sauvages étaient arrivés
avec le cheval blanc. Avec un peu de travail,
ces animaux pourraient être domestiqués,
entraînés et vendus pour beaucoup d’argent.

Le vieil homme avait un fils, un fils unique.
Le jeune homme commença à domestiquer les chevaux sauvages. Quelques jours
plus tard, il tomba d’un des chevaux et se cassa les deux jambes.

Une fois encore, les villageois s’assemblèrent
autour du vieil homme et émirent leurs jugements.
« Tu avais raison, dirent-ils, tu nous as prouvé
que tu avais raison. La venue des douze chevaux n’était
pas une bonne chose. C’en était une mauvaise.
Ton fils unique s’est cassé les jambes,
et maintenant, à ta vieillesse,

tu n’auras personne pour t’aider.
Tu es maintenant
plus pauvre que jamais. »

Le vieil homme parla encore :

« Vous êtes vraiment obsédés par le jugement.
N’allez pas si loin. Dites seulement que
mon fils s’est cassé les jambes.
Qui sait s’il s’agit d’une bonne chose ou
d’une mauvaise chose ? Personne ne le sait.
Nous ne connaissons que des fragments des choses.
La vie vient de cette façon, par fragments. »

Il arriva alors que, quelques semaines plus tard,
le pays s’engagea dans une guerre contre
un pays voisin. Tous les jeunes hommes du village
furent réquisitionnés, sauf le fils du vieil homme,
parce qu’il était blessé. Une fois encore
les gens se rassemblèrent
autour du vieil homme, pleurant et se lamentant
parce que leurs fils étaient partis à la guerre
et avaient peu de chances d’en revenir.

L’ennemi était fort et la guerre
serait une sévère défaite.
Ils ne reverraient jamais leurs fils.
« Tu avais raison, vieil homme, gémirent-ils.
Dieu sait que tu as raison. Tout cela le prouve.
L’accident de ton fils était une bonne chose.
Ses jambes sont peut être cassées, mais,
au moins, il est avec toi.
Nos fils, eux, sont partis pour toujours. »

Le vieil homme répondit une fois de plus :
« C’est vraiment impossible de discuter avec vous.
Vous n’arrêtez pas de tirer des conclusions.
Alors que personne ne sait rien. Dites seulement :
nos fils sont partis à la guerre, et le tien non.
Personne ne sait si c’est une bonne chose
ou une mauvaise chose. Personne
n’est assez sage pour le savoir.
Dieu seul le sait. »

Et vous, dîtes-moi,
qu’en pensez-vous ?

Yola M. ❤

 

Tendresse maternelle Toujours se renouvelle… 👱💞

« Le coeur d’une mère est l’école de l’enfant. »

« Le cœur d’une mère est le miracle de l’amour »

« Rien n’est plus confortable que le coeur d’une mère »

Une mère, vois-tu, c’est là l’unique femme

Qui nous aime toujours,

A qui le ciel ait mis assez d’amour dans l’âme

Pour chacun de nos jours. 💖💕

Doit-on croire au bonheur : alors heureux (se) ? 👼💑 🕴

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« Croire au bonheur »

LE BONHEUR CETTE FLEUR RARE QUE L’ON
CULTIVE EN TOUT TEMPS


Il était une fois une belle jeune fille très fleur-bleue qui croyait profondément en l’amour, le vrai, et à cette réalité qu’on lui avait mainte et mainte fois conté.

Elle envisageait donc toujours le monde avec les yeux de l’amour, cette innocence qui la caractérisait si bien, et avec une telle candeur.

Un beau jour elle rencontra son prince charmant, mais…malheureusement ou peut-être pas, ils n’eurent pas beaucoup d’enfants. 👫

D’ailleurs, elle ne rêvait pas comme on pourrait le penser de fonder une aussi grande famille !

Car c’est ce qui arrive généralement dans tous les « véritables » contes de fées de notre enfance…

Elle avait elle même évoluée dans ces grandes familles d’autrefois, mais la vie qui les a ensuite rattrapé, a fait que ses parents vécurent finalement séparés l’un de l’autre…

Or, au fur et à mesure que le temps passait, le Prince se transformait…en un « vilain petit crapaud ».

Ce qui contribua à changer de façon certaine la vision qu’elle avait du « grand amour ».

Heureusement, cela ne l’empêcha pas pour autant de garder son si grand coeur :

Car un autre amour qui était resté intacte celui là, continuait à briller à l’intérieur…

Le bonheur réside dans le coeur de celle (celui) qui le cultive en lui !
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Alors, avez-vous aimez cette 
petite histoire ?
💃

LAISSE BRILLER TA LUMIERE 💫

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Promenades en bord de mer et étonnements heureux…

PROMENADES EN BORD DE MER


De Brest à Tahiti, des Marquises au détroit de Magellan, Olivier de Kersauson nous emmène en mer. Là où le temps est autre : long, dense, il s’étend pour permettre de réfléchir, aimer ou se battre. Anecdotes des quatre coins du globe, souvenirs doux-amers et contemplations enchantées… Voici le catalogue singulier d’un marin-poète, amoureux de la nature et des éléments qui se déchaînent. Profitons de ce qui émerveille, dépêchons-nous de saisir la lumière du monde ! « Quand je regarde la mer, je me promène dans le temps du monde. » Le monde comme il me parle, et non le monde comme on veut le faire parler. Il s’agit de sentir les choses, d’écouter, et d’accepter d’être un passager dérisoire et vulnérable, ne laissant pas de trace. « Il faut comprendre ce qu’on vit et ce qu’on est ».


Promenades en bord de mer et étonnements heureux –

Olivier de Kersauson

"QUAND JE REGARDE LA MER,
JE ME PROMENE DANS LE TEMPS DU MONDE."

Citations similaires

Prendre la mer, c’est tout sauf une fuite, c’est au contraire une discipline et une contrainte. Décider d’aller chevaucher les vagues, c’est une conquête et, pour conquérir, il faut partir. C’est l’extraordinaire tentation de l’immensité. La mer, c’est le cœur du monde. Vouloir visiter les océans, c’est aller se frotter aux couleurs de l’absolu.

Ocean’s songs –

Il m’a toujours semblé indécent de ne pas aller voir partout dans le monde. Il me fallait partir sur tous les océans, découvrir tous les ports… Pour moi, c’est vital : puisqu’on est dans le monde, il faut le courir.

Ocean’s songs –

La mer chante sans arrêt et la bande son qu’elle diffuse est capitale pour le marin. Lorsqu’il fait nuit, il n’a pas d’autre point de repère que sa chanson. Le son de chaque instrument compte, celui du vent, des vagues, leur sifflement déchirant contre la coque.

Vous méritez d’être aimé(e) de façon inconditionnelle et avec tout le respect du monde. L’importance de se valoriser n’a pas de prix même lorsque l’on aime…

LES RAPPORTS HUMAINS SONT SOUVENT DESASTREUX...

UNE PERSONNE N'EST PAS UNE IMAGE A ADMIRER.jpg

Gratitude du jour : soyez entouré(e) uniquement par les personnes qui connaissent votre valeur…une merveilleuse journée à tous !

ENTOUREZ-VOUS DE PERSONNES QUI CONNAISSENT VOTRE VALEUR
Gratitude

e97e1072cbb849518817c98da9d7b192618c7f2cVous n'avez pas besoin d'une multitude de gens autour de vous pour être heureux.
Juste celles qui vous apprécient pour la personne que vous êtes. ❤

 

Nul ne peut atteindre l’aube…

Nul ne peut atteindre l’aube,
sans passer par les chemins
de la nuit.


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C’EST DANS LE NOIR…

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C’est dans la nuit
qu’on reconnait le mieux
la beauté de la lumière.

C’est ainsi que
l’on s’aperçoit que la

noirceur absolue n’existe,
pas et qu’il existe, en tout,
une part d’éclat lumineux qui
ne demande qu’à briller pour
s’épanouir du mieux possible.

Lorsque la braise
semble éteinte, 
il suffit 

d’une légère brise pour
la faire revivre.

Alors, sa lumière
éclairera à nouveau,

et sa chaleur pourra se
diffuser 
délicatement
tout autour d’elle.

Belle réflexion !
Chaleureusement.WaterMark_2018-11-25-12-52-09 (2)Texte :
Emond Girou