Etre négatif c’est s’éloigner de son bonheur…

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5 Affirmations à se repeter tous les soirs…

J'ai fait de mon mieux pour aujourd'hui. J'ai gagné mon repos pour ce soir...
Affirmations positives pour avoir un sommeil réparateur

COMMENT DEVENIR UN OPTIMISTE CONTAGIEUX ?

COMMENT DEVENIR UN OPTIMISTE CONTAGIEUXIl est communément admis que si nous travaillons dur, nous réussirons mieux, et que si nous réussissons, alors nous serons heureux. Si nous pouvons décrocher ce poste génial, obtenir cette nouvelle promotion, perdre ces cinq kilos, le bonheur suivra. Mais si c’était l’inverse ? Un excellent ouvrage de psychologie positive, plein d’humour, par le cotuteur du cours de Tal Ben-Shahar à Harvard.

Le saviez-vous ? Avoir un état d’esprit positif permet de gagner sept ans d’espérance de vie ; un médecin heureux fait de meilleurs diagnostics ; et les personnes âgées qui voient la vie du bon côté ont davantage de tonus et une meilleure mémoire.

S’appuyant sur les découvertes les plus récentes en neurosciences et sur son expérience de professeur de bonheur, Shawn Achor offre un ouvrage incontournable pour devenir sur-le-champ un optimiste contagieux.

Proposant sept outils aussi ludiques qu’efficaces, Shawn Achor nous apprend à nous fixer des objectifs à notre mesure, à faire le choix des vrais plaisirs sans dépenser à tout va, à déployer mille ruses pour abandonner nos mauvaises habitudes, en bref à remodeler notre cerveau pour voir la vie sous son plus beau jour, donner le meilleur de nous-mêmes et en faire profiter tous ceux qui nous entourent.

Débordant d’humour et d’anecdotes scientifiques passionnantes, un ouvrage de référence en psychologie positive, par l’assistant de Tal Ben-Shahar à Harvard.


BELIEVE IN YOURSELF BE POSITIVE MIKE HOLMES

Je te recommande cet article de Psychologie…

Après le bac, j’ai commencé des études de droit sans passion particulière. A cette époque, il y avait un fond de déprime en moi, avec des alternances de boulimie, puis d’anorexie…

psychology

La psychanalyse m’a ouvert les yeux sur le monde pour la première fois


TEMOIGNAGE
Marie, 30 ans, célibataire

Mis à jour le 21 juillet 2009 à 17:13



Après le bac, j’ai commencé des études de droit sans passion particulière. A cette époque, il y avait un fond de déprime en moi, avec des alternances de boulimie et d’anorexie, des obsessions, mais ces malaises n’étaient pas suffisamment gênants pour que je réagisse.

C’est la mort de mon chat qui m’a fait chuter plus profondément. J’ai pensé : “Mon chat est mort, et moi, je n’existe pas.” Ma vie s’est alors comme suspendue. J’ai laissé tomber mes études, je n’avais plus goût à rien. Le nutritionniste que je voyais à l’époque pour mes troubles alimentaires m’a proposé l’adresse d’une psychanalyste. J’ai eu beaucoup de chance : dès le premier rendez-vous, je me suis sentie bien avec cette femme.

Au début, j’ai eu tendance à chercher des explications logiques. La question sur laquelle je revenais sans cesse était : “Pourquoi ça m’arrive à moi ?” Quand j’ai pu lâcher ce “pourquoi” et laisser affleurer les émotions, les choses ont commencé à avancer. Les symptômes, notamment alimentaires, ont disparu au bout de trois ou quatre ans.

Puis j’ai repris des études, de psychologie cette fois, en ayant l’impression de faire un choix personnel pour la première fois de ma vie. Les études de droit, c’était le rêve de mon père. Quant à ma mère, morte lorsque j’avais 13 ans, j’en avais gardé une image très positive. Or, au cours de mon analyse, j’ai découvert qu’elle avait mal supporté le divorce d’avec mon père et qu’elle était probablement tombée en dépression à ce moment-là, m’entraînant inconsciemment avec elle.

L’analyse est un trajet douloureux, parce qu’il faut accepter que les représentations que l’on a de certaines personnes évoluent. J’ai parfois ressenti comme une trahison le fait de décortiquer sur le divan ma relation à ma mère. Durant la cure, j’ai repris contact avec mon père, que je n’avais pas vu depuis quatorze ans, et j’ai appris à avoir de belles relations avec les hommes – même mes ruptures sont harmonieuses. Mais il est difficile d’expliquer pourquoi les choses bougent ainsi, car c’est l’inconscient qui est en jeu.

On dit souvent que suivre une analyse rend égoïste parce que l’on est tourné vers soi. C’est vrai, mais lorsqu’on va mal, on l’est tout autant, ça ne change pas grand-chose. En revanche, quand on commence à aller mieux, c’est comme si vos yeux s’ouvraient sur le monde pour la première fois.

Au bout de cinq ans et demi, ma psychanalyste m’a annoncé qu’elle cessait son activité libérale et m’a donné les coordonnées d’un confrère, un homme cette fois. Femme, homme, je pensais que cela avait peu d’importance, mais je me rends compte que ça joue, car je me sens poussée plus loin dans mes retranchements. C’est inconfortable, mais passionnant.

http://www.psychologies.com/Vivre-sa-therapie/Commencer/Temoignages/La-psychanalyse-m-a-ouvert-les-yeux-sur-le-monde-pour-la-premiere-fois

Comment combattre les croyances limitantes ?


CHANGER VOTRE REGARD SUR LES AUTRES,
LE MONDE QUI VOUS ENTOURE ET LA VIE EN GENERAL…

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** CHANGER VOTRE REGARD SUR « LES AUTRES » ET SUR LE MONDE QUI VOUS ENTOURE : ET VOTRE MONDE CHANGERA **

Vous n’avez pas vos yeux que pour entrevoir le monde.
Votre regard peut aussi « illuminer »
la vie autour de vous…

Le monde sera doncfaçonné comme vous le percevrez
à travers :

vos pensées,
le fameux filtre de toutes vos perceptions ou vos lunettes. 😎Yola Marin👌

LE MONDE EST LE MIROIR DE MON AME
** J’AI APPRIS DIT LE PETIT PRINCE QUE LE MONDE EST LE MIROIR DE MON AME **


Bonjour à  tous, j’espère que vous allez bien ? En ce qui me concerne la vie autour de moi s’écoule doucement, j’entends par là paisiblement et pour moi c’est bien ainsi : je me suis levée ce matin en entendant le chant des oiseaux (là où je vis c’est un endroit où le bruit n’est encore pas trop présent. J’estime que c’est vraiment une grande chance de pouvoir échapper au tumulte de la ville, et à ses nombreux fléaux (agitation, violence, bruits…).

Un article que j’avais lu un matin sur la « richesse de la vie intérieure » me permet de réagir face à certains commentaires que je vois de plus en plus souvent, et de pouvoir également étayer mes propos : il faut croire que cet article m’a visiblement éclairé finalement.

Concernant par exemple les « penseurs positives », la plupart des gens entretiennent de fausses idées sur beaucoup de choses…et en cherchant à définir les autres, ils ne se rendent pas compte qu’en « réalité »… ils raisonnent avec leur système de croyances !

Je m’explique…il y a une tendance en ce moment ou ces derniers temps plus précisément qui consiste à dire et laisser croire (croyances quand tu nous tient !)  qu’une personne ne peut être positive tout le temps et qu’en affichant cette attitude, elle tente d’échapper à la réalité : laquelle d’ailleurs, mais qu’elle serait donc cette réalité ?

Savez-vous qu’elle est loin d’être la même pour tous ? Combien même nous vivons tous dans le même monde, et nous savons tous oh combien l’univers est immense…or sans même chercher à aller aussi loin,😉il suffit simplement d’observer son voisin ou celui qui réside à quelques pâtées de maison de chez vous. Il s’avère bien souvent qu’il n’aura pas du tout le même rythme de vie (bien qu’en apparence, ça pourrait être le cas), en fait ça ne l’ai pas ! En revanche, il a en « générale » des problèmes…comme vous !

Le paradoxe, c’est que l’humain vit beaucoup aujourd’hui dans le paraître : il fait ainsi une sorte de fixation sur ce désir qu’il a de se montrer aux autres ou de démontrer par ce qu’il arrive ou pas à posséder (les « signes extérieures de richesses »), qu’il a pu « réussir » sa vie. Mais qu’est-ce que la réussite finalement ? Est-ce vraiment toute cette accumulation de biens ou encore le fait d’avoir su préserver sa capacité à pouvoir s’en affranchir, et sans pour autant ressentir la pression qui s’exerce…de réussir à être en accord avec ses propres valeurs (c’est à dire de s’épanouir), puis de jouir d’une véritable liberté d’esprit par rapport justement à cette société qui n’a de cesse de fabriquer tous ces standards, alors ? Qu’est ce qui compte le plus selon vous, posséder des biens ou tout simplement de bien vivre avec comme bagage accumulé les « richesses intérieures«  que sont la paix et la sérénité d’une vie orientée vers le minimalisme ?

«-Le-succès-n’est-pas-la-clé-du-bonheur.-Le-bonheur-est-la-clé-du-succès.-Si-vous-aimez-ce-que-vous-faites-vous-réussirez.-»-Albert-Schweitzer-1024x256
LE BONHEUR EST LA CLE DU « SUCCES »

Dans le monde actuel où nous vivons, (je parle ici notamment de l’occident), nous avons malheureusement et à tort, bien trop tendance à croire que la valeur de la vie prend son sens en étant basée essentiellement sur les « possessions matérielles » (maison, voiture, la catégorie socio-professionnelle à laquelle appartient l’individu etc…).ETRE HEUREUX CE N'EST PAS TOUT AVOIR

*UNE CERTAINE DEFINITION DU BONHEUR : N’AVOIR BESOIN
DE RIEN D’AUTRE..: 
ET SI VOUS NE RENTRIEZ PLUS
DANS LE MOULE ?*


 Nous enfermons les gens dans des catégories, comme si le fait d’appartenir à une « classe sociale », pouvait vous dispenser de rencontrer les problèmes que connaît n’importe quel « humanoïde » digne de ce nom ! Un homme reste un homme (il s’agit ici de l’Homme avec un grand « H » bien sûr), et quelque soit la catégorie (si il y a) à laquelle il pourrait appartenir, il n’échappera pas pour autant aux émotions qui peuvent l’assaillir à un moment ou à un autre de sa vie, à l’échec, au divorce, et à la célébrité (qui engendre souvent bien des maux, contrairement à ce qui est majoritairement véhiculé par les médias, excepté la presse à scandale)…bref ceci dit, je pense que vous voyez bien où je veux en venir.

Comme nous le constatons de plus en plus, au fur et à mesure que la société « évolue », on se rend compte que finalement le système qui a été développé et sur lequel nous basions justement une certaine idée ou je dirais même plus, notre nouvel idéal du bonheur (cf. The American Way of Life*), entraîne en réalité beaucoup plus de comportements anxiogènes que l’on ne veut bien se l’avouer ou le laisser paraître pour (ou peut-être cultiverait-on secrètement la douleur ?), je préciserai même un grand nombre de personnes au sein de notre société, qui sont semblerait-il de plus en plus dépassées par ce mode de vie à l’EuropéenneETES-VOUS STRESSER...1.jpgC’est à se demander si cette civilisation moderne qui a vu apparaître l’homo-sapiens(1), ne produit pas « volontairement » ce type de comportement DE NATURE à engendrer tous ces états d’esprit (anxiété, dépression, manque de sommeil…), et si c’est le cas, dans quel but ? 👀

Avec l’apparition de nouveaux besoins crées par les sociétés et groupes commerciaux à grand coups de marketing, l’homme est devenu de plus en plus dépendant de l’objet (cafetières, chaussures et vêtements de marque, télévisions, téléphones, voitures, moyens de transport etc…), et s’est peu à peu détaché des valeurs d’antan qui étaient selon moi autrement bien plus humaines…ah la la modernité, modernité, mais COMMENT EST-CE QUE TU NOUS TIENS ?! 

“Soyez simples et vivez simplement.
Soyez plutôt honnête, 
renoncez à ce besoin d’être
à tout prix bien vu des autres !”
 
😘

On ne se soucie plus de son prochain, c’est chacun pour soi et comme dirait l’expression : « Dieu pour la compagnie » ! Nous sommes entrés dans l’ère du tout et du rien à la fois…d’ailleurs, le fait qu’autant d’individus se sentent attirer par les valeurs spirituelles, reflètent bien cette tendance vers laquelle a « glissé » au fur et à mesure ces sociétés dîtes modernes ! Plus on est capable de consommer et mieux l’on devrait soit disant exister

Nous épuisons les matières premières et détruisons la terre dont nous disposions gracieusement (l’air, la nature, les arbres, les végétaux…), pour les remplacer par la sur-consommation et toute cette industrialisation à outrance, qui était censée normalement (en nous facilitant les choses), enrichir nos vies et nous permettre de mieux vivre en étant plus heureux. Non loin s’en faut ! En voulant construire des passerelles nous avons finalement plutôt battit des murs entre les hommes : celui du dictate des normes qui nous sont imposées par ce modèle de société.

Cependant, force est de constater aujourd’hui que tout système quel qu’il soit, a ses limites…seulement, quand réagirons-nous enfin face à ce défi que nous nous devons de relever et devant cette menace qui plane inexorablement sur notre nouveau monde ?


(Ծ‸ Ծ) 


LE TEMPS EST SAGE IL REVELE TOUT
« LE TEMPS EST SAGE IL REVELE TOUT ! »

(*)The American Way of Life

Le développement de l’American way of life en Europe et dans le monde est un phénomène lié au xxéme siècle. L’aide que procura l’armée américaine au cours de la Première Guerre mondiale, où elle fut particulièrement efficace sur l’organisation logistique, dans le centre de la France par exemple, commença à éveiller un intérêt pour cette culture nouvelle.

AMERICAN WAY OF LIFE 2

Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’effort de
production des armements nécessaires au débarquement
de Normandie fut le plus grand projet industriel jamais
 mené en un temps aussi court par une nation.

American Way Of Life 1
The « American Way Of Life »

ALLO INSPIRATION

À la Libération, les Américains bénéficièrent ainsi d’un prestige considérable, qu’ils réussirent à négocier auprès des pays européens. L’accord Blum-Byrnes (1946) par exemple, outre l’aide financière qu’il accordait à la France, comportait l’autorisation de faire projeter des films américains dans les salles de cinéma françaises. D’autres produits de grande consommation se répandirent en Europe : chewing-gum, cigarettes, Coca-Cola, mode… diffusant une forme américaine de culture de masse. Le Paradoxe de Leontief exprime, sous forme de théorie économique, le fait que les États-Unis sont parvenus à exporter des biens moins exigeants en capitaux que ne le sont leurs importations : la théorie du maintien de l’équilibre de la balance commerciale

AMERICAN WAY OF LIFE 3
Publicité Coca-Cola symbole de l’hégémonie Américaine 

AMERICAN HEGEMONIE MARYLYN MONROE
Le Pop Art à l’effigie de Maryline Monroe

L’arrivée du réseau internet pose également ce genre de questions, autour de l’identité culturelle, et du droit de la propriété intellectuelle.

Le mode de vie américain dans un jeu
de responsabilité sociale

  • La responsabilité sociale des individus (RSI) : les individus sont responsables de leurs comportements (ils trient leur poubelle), mais pas coupables de la société de consommation prônée par les entreprises et les politiques ; ils affirment qu’il n’y a pas de reconnaissance des représentants (associationsONGsyndicats…)

    Critiques

  • Les critiques, suggèrent que le mode de vie américain qui s’est développé au xxeme siècle repose sur la consommation de masse. Celle-ci prend plusieurs formes : les loisirs, les objets de la vie quotidienne, les codes vestimentaires, les informations pour l’individu, le confort, mais aussi la surexploitation des ressources naturelles : l’empreinte écologique d’un Américain du nord est d’environ 8 hag (hectares globaux) par personne, pour une biocapacité de 2 hag par personne, ce qui correspond à environ quatre fois la capacité biologique de la Terre. Autrement dit, si tous les habitants de la Terre vivaient comme les Américains, il faudrait quatre planètes Terre pour fournir les ressources naturelles et absorber le CO2 !  
  • Le terme a été largement commenté depuis la déclaration de George Bush père en 1992, estimant que rien ne ferait renoncer son gouvernement à défendre l’American way of life (« le mode de vie des Américains n’est pas négociable »).
  • Selon Guillaume Duval, (rédacteur en chef d’une revue altermondialiste) et Manuel Domergue, les plus riches des pays du Nord ont une responsabilité dans les désordres écologiques, qui va bien au-delà de l’impact direct de tous leurs nombreux gaspillages sur l’environnement.


    Guillaume Duval

    Guillaume Duval.jpg

AMERICAN WAY OF LIFE - THAT'S THE WAY IT SHOULD HAVE BEGUN BUT IT'S HOPLESS !
C’est comme cela que tout a du commencé mais c’est sans espoir !

Homo sapiens

     Homme moderne, Homme, humain, être humain

Description de cette image, également commentée ci-après
Représentation d’humains sur la plaque de Pioneer

Page d'aide sur l'homonymiePour les articles homonymes, voir Homo sapiens

(1)Homo sapiens

Homo sapiens est une espèce de la famille des Hominidés. Plus communément appelé « Homme moderne »« Homme »« humain » ou encore « être humain », il est le seul représentant actuel du genre Homo, les autres espèces étant éteintes. Les plus anciens fossiles de cette espèce datent d’environ 300 000 ans1.

Parmi les hominidés actuels, il se distingue du point de vue physiologique par sa bipédiequasi-exclusive, son cerveau plus volumineux et son système pileux moins développé2. Il faut ajouter à ces critères, l’existence d’une ménopause chez la femme, contrairement aux autres hominidés3.

Du point de vue de l’éthologie, et par rapport au reste du règne animal, Homo sapiens se distingue par la complexité de ses relations sociales, l’utilisation d’un langage articulé élaboré transmis par l’apprentissage, la fabrication d’outils, le port de vêtements, la maîtrise du feu, la domestication de nombreuses espèces végétales et animales, ainsi que l’aptitude de son système cognitif à l’abstraction, à l’introspection et à la spiritualité.

Les attitudes limitantes

La plupart d’entre nous ont pris pour habitude de développer tout au long de leur vie, de nombreuses attitudes limitantes, cela sans même pourtant s’en rendre compte…

Il s’agit de croyances souvent inculquées durant notre enfance, ou même parfois développées plus tard suite à des expériences qui ont été bien souvent mal vécues.

Une enfance compliquée avec des parents qui ne nous ont jamais apporté de sécurité, ou des relations affectives basées sur la manipulation émotionnelle, nous limitent généralement de façon déterminante. Nous devenons fragiles à l’intérieur et perdons petit à petit notre confiance en nous…ce qui finit par nous empêcher d’utiliser notre plein potentiel. Or, si vous ne travaillez pas par la suite sur ce manque de confiance (ou que vous n’en avez pas conscience suffisamment tôt), cela aura pour effet de vous freiner une bonne partie de votre vie. Par conséquent, il est plus que salutaire de pouvoir en prendre conscience afin d’y remédier au plus tôt si l’on veut s’épanouir puis avancer dans la vie…

Les gens ne se débarrassent pas facilement de leurs acquis. Pour apprendre à danser, il faut laisser derrière soit tout ce que l’on a appris et commencer par « désapprendre »…mais c’est difficile. Eh oui on y tient, à ce qu’on est, même si ce n’est pas grand-chose !

Les attitudes limitantes sont ces pensées exprimées par des phrases telles que : «je suis moche», «untel est mieux», «moi je ne vaux rien», «je ne suis pas capable de le faire, je vais échouer», «pourquoi essayer si les choses tournent toujours mal pour moi ?…». Ou alors nous pouvons être confrontés au regard des autres lorsque nous voulons entreprendre une nouvelle activité qui sort du champs de ce qu’on pourrait appelé nos compétences apprises.

Le problème en France, est que l’entrepreneuriat est compliqué et lourd administrativement. Si en plus on vous stigmatise à chaque fois que l’on échoue, ne vous étonnez pas que peu de gens tente leur chance ! Quelqu’un qui échoue plusieurs fois sera vu comme un gros looser et non comme quelqu’un qui va de l’avant malgré les revers et qui ne lâche pas !
Bon à retenir : Seuls ceux qui ne font rien, ne peuvent se tromper…

Ainsi, nous aurons du mal à faire admettre à notre entourage par exemple, notre désir d’indépendance par rapport au salariat«c’est trop de risques !», vous objectera t-on souvent dans ce cas…Or, la société de consommation a été constituée par ceux qui ont osé…et « designé » le monde autrement !

« L’échec est le fondement de la réussite.
N’abandonnez jamais pour réussir. »

SELON YDRISS ABERKANE (3 FOIS DOCTORANT),
« L’ECHEC EST UN DIPLOME ! »

« Je ne perds jamais soit je gagne soit j’apprend ! »
*** *** ***
Nelson Mandela


Restructurez vos croyances
:

Changez votre perception des choses en modifiant votre regard sur vous-même, sur les autres et sur la vie en générale. Car bien souvent, ce sont nos pensées qui nous limitent !

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Tout ce que je peux imaginer, je peux le créer…

Ne vous limitez pas et ne limitez pas les autres par vos croyances : tout ce que l’esprit peut imaginer, il peut le créer. Je connais 5 langues différentes, je n’en fais pas état mais en revanche je peux l’enseigner à d’autres que moi : quand vous avez un talent (compétence ou potentiel), il ne faut pas garder jalousement pour vous ce que vous savez. Abandonnez l’ego, puis transmettez-le aux autres plutôt que d’en faire étalage…😉

Etant une personne très curieuse de nature et une autodidacte, je ne me suis jamais limitée dans ce que je voulais apprendre, car je pars du principe que tout s’apprend. Je ne laisse pas non plus les autres m’empêcher d’oser faire une chose qui me tient à coeur, (combien même je devrais être «critiquée»)…comme j’ai aussi beaucoup de mal à « satisfaire » les attentes d’une personne si je sens que ça risque de ne pas être en accord avec mon propre moi. C’est une situation que j’ai déjà rencontré par le passé, et je peux donc vous dire comme on le ressent fortement…il n’y a rien de pire que de devoir « répondre » aux «désirs» des autres, surtout lorsque vous vous sentez tiraillé(e) parce que vous sentez qu’il y a finalement là quelque chose qui ne vous correspond pas ! Par conséquent, c’est vraiment à éviter…si l’on veut être soi et pouvoir s’épanouir.

<<LA LIBERTE COMMENCE LORSQUE NOUS FERMONS LA PORTE DE L’IGNORANCE ET DE LA PEUR DE L’AUTRE>>

Allez vers les autres, et ne considérer plus votre prochain comme un envahisseur de votre espace mais voyez plutôt en lui, celui qui vous apportera un plus à chaque journée.

Les voyages (qui forment la jeunesse), sont des éléments enclin à vous ouvrir l’esprit sur l’ailleurs, d’autres gens et d’autres cultures qui enrichiront votre être et votre esprit.

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Asie-Bouddhisme-Indonesie-Cambodge-Enfants-Garçons (Crédit photo sasint)

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Bali-Indonesie-Fille-femme (credit image Atlantios)

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India-Jaipur-Fort-Amber-Forteresse-Antique (Crédit photo dMz)


Vous êtes bien plus que vos expériences passées, et vous n’êtes pas défini par celui qui vous aurait fait du mal ou celui qui a bâti ces murs pour vous priver de votre chère liberté. Vous méritez aussi d’avancer, de lire votre personnalité intérieure et de reconnaître votre valeur, votre capacité à être «apte» de vivre et surtout, à pouvoir vraiment être heureux…

I AM BEAUTIFUL SUCESS AND CONFIDENT
JE VOIS LA BEAUTE QUI EST EN MOI – J’AI DU SUCCES & CONFIANCE EN MOI

Ce que vous méritez, ce dont vous avez besoin

Ce que nous méritons et ce dont nous avons besoin sont aussi liés que les maillons d’une chaîne. Voici un exemple : «j’ai besoin que quelqu’un m’aime». Il s’agit là d’un souhait bien courant. Cependant, commençons par changer l’expression «j’ai besoin» par celle là : «je mérite»…et c’est aussi bien là que va résider en réalité toute la différence !

Vous méritez quelqu’un qui sache percevoir vos tristesses,
qui soit attentif à vos paroles, qui sache déchiffrer
vos peurs et être l’écho de vos rires…


En changeant l’expression de besoin par l’expression de mérite, vous éliminerez ainsi ce lien d’attache toxique que vous développez probablement dans certaines de vos relations affectives.

Si nous avons besoin « A TOUT PRIX » de quelque chose d’extérieure à nous même pour être en phase et heureux, nous devenons alors prisonniers de nos propres émotions. il faut apprendre à aimer sa propre compagnie.

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Les choses simples sont les meilleures

Il faut commencez par vous-même. Soyez cette personne que vous voudriez avoir à vos côtés, celle qui mériterait vraiment un jour ou l’autre de pouvoir partager votre vie…

Je vous suggérerais donc vivement de bien travailler auparavant les points qui sont énumérés ci-dessous :

Libérez-vous de vos peurs :


  • Profitez de votre solitude, apprenez à « lire » votre personnalité intérieure, et à ressentir beaucoup plus d’empathie envers vous-même, comme vous le faîtes peut-être pour les autres…
  • Cultivez votre épanouissement personnel, profitez de l’instant présent, et de ce que vous êtes simplement.
  • Apprenez à être heureux avec humilité, en désactivant votre ego et en gagnant de la maturité émotionnelle.

Quand vous vous accorderez enfin tout ce dont vous méritez,
en devenant ainsi, la meilleure version de vous-même,
ce dont vous avez besoin arrivera.

Faites-plaisir-à-vous-même-avant-les-autres
Faîtes plaisir à vous-même !

Prendre soin de soi ce n’est pas être égoïste

La plupart du temps, nous restons prisonniers de ces « pensées limitantes » que je vous  exposais déjà un peu plus haut dans cet article.

En effet, certaines personnes trouvent leur bonheur en donnant beaucoup aux autres, en leur portant de l’attention, en les soutenant, et en renonçant à certaines choses, ça a été mon cas pendant un certain nombre d’années…

Il est possible que vous ayez été éduqué ainsi. Cependant, il arrive toujours un moment où nous avons besoin de faire le bilan et où l’on se rend compte que quelque chose nous manque. La frustration et la souffrance émotionnelle finissent un beau jour par se faire sentir et les doutes commencent alors à nous assaillirent quant au véritable sens de la vie.

J’ai heureusement bien fini par me rendre compte qu’il fallait maintenant que je me consacre à mes propres aspirations, que j’avais à tort mis de coté. J’ai décidé d’opérer des changements et pris une toute nouvelle direction.

Depuis, j’ai radicalement changé de vie et ne suis plus vraiment la même personne. J’ai toujours autant d’empathie, mais j’ai changé d’optique de vie : ainsi, le bien des autres n’est plus ma «préoccupation première» en ce sens qu’on réalise que pour s’occuper des autres, notre coupe doit être remplie !

Nous ne pouvons pas tenir une torche
pour éclairer le chemin d’un autre,
sans illuminer le nôtre.

Comme toute chose dans cette vie, il existe l’harmonie, c’est la conjonction de votre espace, mon espace, de vos besoins et de nos besoins.

La vie de famille, la vie de couple ou n’importe quel autre contexte social doit se construire par le biais d’un « accord équilibré »tout le monde y gagne et où personne n’est mis de côté : c’est donc cela l’harmonie.

Dans les moments difficiles, nous perdons parfois le contrôle de notre vie, et nous quittons de ce fait notre véritable rôle d’acteur principal pour ne devenir plus qu’un simple figurant…

Je  vous recommande de réfléchir quelques instants à ces brèves idées mais non moins excellentes pour votre bien-être et vos aspirations à être une personne qui est épanouie :

– Je mérite un jour de repos, rien que pour moi, seul(e). Cela m’offrira ce dont j’ai besoin : penser, me libérer du stress puis relativiser les choses. Mon bien-être est essentiel à mon épanouissement.

– Je mérite d’être heureux, c’est peut-être le moment de «laisser partir» certaines personnes ou certains aspects de ma vie. Cela me permettra d’obtenir ce dont j’ai besoin : de nouvelles opportunités. D’ailleurs, tient à ce propos il est temps de vous mettre au défi. Je vous propose de faire un petit détours sur le blog de Maxie(2). Cela changera complètement le filtre de vos perceptions, vous verrez la vie avec une teinte de couleur différente tous les jours : des goûts, des couleurs et moi je rajouterai des saveurs !😎 ♥‿♥

NOTA BENE : ça sort du contexte des situations auxquelles vous avez probablement l’habitude d’être confrontées…mais qu’à cela ne tienne ! Quelle excellente manière de vérifier «les limites» de vos croyances.

Nous méritons tous de ne plus être prisonniers de la souffrance et de nos propres attitudes limitantes. Ouvrez les yeux, déchiffrez vos nécessités, enfin je dirais pour conclure là dessus, ECOUTEZ-VOUS

(2) LA COULEUR DU JOUR

Quand vous vous autoriserez vraiment
à accueillir ce que vous méritez,

tout ce dont vous avez besoin arrivera à son tour ! 😊 😍

L'UNIVERS t'apporte ce dont tu as besoin...Merci de me faire part de vos réflexions,
A très bientôt mes très Chers Readers…
Bises à ceux qui me suivent 💋💋
KISS
Positivement vôtre. Yola

 

Le pouvoir de la pensée…

La pensée positive est un trait caractéristique
de toute personne à succès.

PENSER POSITIVEMENT

Comme vous le savez probablement, la pensée génère en nous des émotions qui auront un impacte positif ou négatif sur notre vie. Les pensées positives sont source d’une meilleure santé, favorise l’optimisme, l’ambition, le courage, la motivation, vous encourage, vous inspire à oser vous dépasser…tout ce qui est positif et que nous aimons !

Il est assez rare de rencontrer des personnes qui sont dotées d’un tempérament très négatif et qui réussissent merveilleusement bien, vous en conviendrez, n’est-ce pas ?

Penser positivement vous donne la force, la motivation pour atteindre vos buts et la persévérance pour aller jusqu’au bout, même lorsque vous serez tentés d’abandonner.

Entretenir un état de pensées positives permet de combattre efficacement la peur, la dépression, la tristesse, l’échec, les obstacles…en fait, tout ce qui est négatif et tous les états que la grande majorité d’entre nous, n’aimons pas et qui peuvent nous détruire.

La pensée négative quant à elle vous déprime, endommage votre santé, vous vide de votre énergie et peut même vous emmener vers une vraie dépression, n’est-il pas vrai ?

Les répercussions de la pensée positive dans vos relations !  

Plus vous êtes positif, plus cela aura un impacte positif sur votre environnement immédiat et vous commencerez à recevoir un feedback positif, venant de l’extérieur…

Il est vrai que tout le monde a des pensées négatives, y compris les personnes positives.

Mais alors qu’est-ce qui peut différencier la personne positive d’une personne négative ?

Une personne positive génère bien plus de pensées positives que de pensées négatives.

Les personnes positives ne permettent pas aux pensées négatives de prendre le dessus.

Comment développer le comportement d’une personne qui pense positivement ?

Pour chaque pensée négative qui traverse votre esprit, vous allez la remplacez par 10 pensées positives.  Mettez cela en place et observer les changements d’ici 15 à 30 jours : vous vous apercevrez que votre esprit produit plus de pensées positives par lui-même.

Souvenez-vous que prendre l’habitude de générer des pensées positives vous aidera à avoir une meilleure santé sur le plan morale mais physique également (l’effet placebo).

Voici comment mettre en place cela :

Disons que vous avez une pensée négative à propos de quelqu’un ou quelque chose.  Voici ce que vous devriez faire :

1) Bloquez cette pensée négative avant qu’elle ne produise une deuxième et que cela fasse boule de neige et vous entraîne.

Pour se faire…vous devrez devenir conscient de ce à quoi vous pensez. Ce qui peut demander une certaine concentration, car pour la majorité des gens, nous ne réalisons pas toujours ce à quoi nous pensons et c’est à ce moment là que nous construisons ou détruisons notre vie continuellement.

Juste en devenant conscient de ces pensées négatives, vous en diminuez l’effet d’au moins 50%.  Vous réduisez ainsi les pertes d’énergie, la colère, la peur, la frustration et tous ces états qui sont souvent indésirables.

2) Neutralisez votre pensée. Ne pensez à rien pour 15 secondes, même pas à des pensées positives.  Détournez simplement votre attention.

3) Maintenant, produisez 7 pensées positives irréalistes, fantaisistes en relation de ce sur quoi vous étiez pour avoir une pensée négative. Ces pensées ne doivent pas être réalistes.  Utilisez votre imagination et laissez-vous vraiment aller.

Prenons un exemple.  Vous avez une discussion enflammée avec une personne aimée et rapidement vous commencez à avoir des pensées négatives.

1-  Bloquez cette pensée de façon à en prendre conscience.
2- Neutralisez cette pensée : concentrez-vous sur n’importe quoi d’autre qui est neutre !
3- Maintenant, vous pensez à acheter une voiture neuve à cette personne, bon allons-y : 
a) vous imaginez que vous déménagez ensemble dans une maison de rêve, (une vision);
b) vous imaginez que vous allez au restaurant; Vous passez alors un moment agréable
c) vous imaginez que vous partez en croisière…et vous allez donc en construire 7 en tout.

L’objectif est de placer votre esprit sur une tangente positive.

Pourquoi pas des pensées positives réalistes ?

Premièrement, demandez-vous… est-ce que toutes vos pensées négatives sont réalistes ?  Sûrement pas !  Le fait est que… la majorité de vos pensées négatives sont totalement irréalistes et même à la limite du ridicule.

Deuxièmement, c’est que de cette façon, vous ne vous créez pas d’attentes ni d’obligations mais simplement vous distraire et ne rien y faire d’autre…

Le fait de penser positivement ne veut en aucun cas dire que vous ne considérerez pas ou plus le négatif dans ce qui peut vous arriver, loin de là.  Vous pouvez aimer une rose, en étant conscient qu’elle a aussi  des épines !

Combien même vous adorez cette fleur, mais puisque vous êtes tout de même conscient qu’elle a des épines (le négatif), de considérer cela ne vous empêchera point de la cueillir (en évitant à ce moment là de vous blesser).

Souvenez-vous, il y aura probablement des moments où vous vous sentirez frustré(e) ou démoralisé(e). Les penseurs positifs savent que ces moments sont valables, qu’ils se produisent et ils ne tentent pas de les ignorer…mais ont la capacité de se recentrer et de dépasser cet état pour mieux rebondir.


Pour finir :

Recherchez, localisez et identifiez la source et la cause de toute pensée négative (il y en a bien une en générale), puis veiller à la neutraliser d’une manière ou d’une autre !

Si ce qui peut la générer est extérieure et qu’il n’y a rien que vous puissiez faire…le mieux est d’accepter la situation et d’essayez de voir comment vous pouvez en tirer le meilleur.

Et si vous pouvez y changer quelque chose, agissez en réfléchissant à la meilleure manière de gérer cela et tâchez de maîtriser la situation ! C’est tout ce que vous aurez à faire.

La pensée positive est finalement une pratique qui peut fort bien devenir une habitude, de la même façon que l’on pourrait pratiquer une activité physique que l’on instaure…

Avec le temps, votre esprit qui y prendra goût, finira par générer lui-même de nouvelles pensées positives.

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Le message n’est pas ici de dire que penser positivement réglera tout, mais simplement que cette façon de voir les choses aura des impacts positifs sur votre vie. De plus, cela fonctionnera bien évidemment toujours plus que si l’on est défaitiste ! Ce n’est pas un discours de marketing ou irréaliste, mais pour avoir moi-même fait de la psychologie : il s’agit simplement de prendre conscience que dans la vie, nous avons un pouvoir sur ce qui nous arrive et que cela dépend grandement de notre attitude face à cette dernière : si vous tenez à mettre des mots précis sur ce phénomène, il s’agit de « la loi d’attraction ». Finalement, le bonheur et le succès sont des choses à mon sens très distinctes…car ce n’est pas parce que vous avez « réussi » dans la vie (dans les sphères quotidiennes) que vous serez aussi heureux. Le succès, selon moi, c’est d’avoir réussi à développer un état d’esprit serein qui vous épanouit vraiment de sorte à rejaillir sur les autres autour de vous, peu importe ce qui peut vous arriver dans la vie, même en l’absence d’un certain « succès officiel » !

Tout être s’efforce
de persévérer dans son être.

LA PREMIERE CAUSE DU MALHEUR, ONT NOS PENSEES A PROPOS DE CELLES-CI

La vie ce n’est pas d’attendre que l’orage passe,
mais d’apprendre à danser sous la pluie…